La généalogie de Mgr Lionel Daigle
L'artiste
(Photo Jean-Louis Lang)
Le bâtisseur
Le professeur et chef d'orchestre
Le financier
Le chef-d'oeuvre
Plan du document
1. Mes commentaires
2. La vie de Mgr Lionel Daigle
3. Le Livre Souvenir de Clair NB 1889-1989
4. La généalogie de Mgr Lionel Daigle
5. Ma documentation généalogique
6. Les photos
7. Du Québec au Madawaska
8. La collection de photos de Marielle Nadeau-Clair
9. Le recensement américain de Deane & Kavanaugh en 1833
7. Du Québec au Madawaska
8. La collection de photos de Marielle Nadeau-Clair
9. Le recensement américain de Deane & Kavanaugh en 1833
1. Mes commentaires
Je ne pouvais me contenter de publier la généalogie de Mgr Lionel Daigle sans souligner ses talents, ses réalisations et sa contribution à la société. Il a été intronisé au Temple de la Renommée des Arts d’Edmundston. Je vous indique plus loin comment conslter le site Internet de cette organisme. Je reproduis aussi le texte écrit par Madame Lise Pelletier dans le Livre Souvenir de Clair NB 1889-1989. Dans son texte, elle parle de sa famille, ce qui nous explique en partie les raisons de son implication sociale soutenue et de son amour pour la musique. Enfin, il m’a semblé de mise de publier quelques photos représentatives de Mgr Daigle, sachant que les plus beaux souvenirs sont sûrement ceux que ses élèves conservent précieusement dans leur mémoire. J’ai tôt fait de réaliser qu’un échantillon représentatif signifiait un nombre important de photos.
À cause de l’impact de Mgr Daigle sur notre société et parce qu’il ne se contentait jamais de la demie mesure, j’ai pris des dispositions pour présenter une documentation généalogique sans faille. Ce n’est pas d’hier que la famille Daigle s’intéresse à sa généalogie. Après avoir fait mon travail de base, j’ai complété mon tableau avec l’aide de Carole Daigle qui a publié le résultat de ses recherches sur Ancestry. Le moins que je puisse dire, c’est que Carole est l’exemple idéal à suivre pour celles et ceux qui font leur arbre de famille. La qualité de son travail est étonnante !
Cependant, les arbres de familles de Carole Daigle, ainsi que de Donald Beach, portent sur les Niveaux 1 à 6 surtout. C’est grâce aux recensements que j’ai pu bien identifier les enfants de Zéphirin & Félix. En scrutant les archives de Saint-Basile et de Frenchville, j’ai amassé quelques documents qui leur seront utiles. De là l’importance de collaborer en généalogie, ce qui évite bien des pertes de temps et des maux de tête.
Ce qui vous étonnera le plus, ce sera sûrement le parcours que cette famille a suivi pour finalement arriver au Madawaska. Cette famille a survécu à une tragédie écrasante, à une injustice impardonnable et à un geste inhumain qu’on leur a infligé. Cette famille est revenue en force et nous a fait bénéficié de ses multiples talents depuis son arrivée parmi nous.
Cependant, les arbres de familles de Carole Daigle, ainsi que de Donald Beach, portent sur les Niveaux 1 à 6 surtout. C’est grâce aux recensements que j’ai pu bien identifier les enfants de Zéphirin & Félix. En scrutant les archives de Saint-Basile et de Frenchville, j’ai amassé quelques documents qui leur seront utiles. De là l’importance de collaborer en généalogie, ce qui évite bien des pertes de temps et des maux de tête.
Ce qui vous étonnera le plus, ce sera sûrement le parcours que cette famille a suivi pour finalement arriver au Madawaska. Cette famille a survécu à une tragédie écrasante, à une injustice impardonnable et à un geste inhumain qu’on leur a infligé. Cette famille est revenue en force et nous a fait bénéficié de ses multiples talents depuis son arrivée parmi nous.
Lionel & Aldéric Daigle,
deux frères aux multiples talents
qui ont laissé de profondes empreintes
dans la communauté de Clair NB.
Ils l’ont fait en consacrant leur vie aux autres.
Au départ, je prévoyais faire porter ce document-ci sur les deux frères Daigle, Lionel & Aldéric: ils sont issus des mêmes parents après tout. Nous savons tous que les deux étaient talentueux et qu’ils se sont dévoués corps et âme au bien-être de la communauté. Comme cette stratégie risquait de créer de la confusion et des complications inutiles, je reviendrai plus tard avec un document concernant Aldéric Daigle et de son implication communautaire, sans oublier son talent de musicien bien entendu.
Certes, le rencensement de 1833 de Deane & Kavanaugh en surprendra plus d’un. Le recensement indique où la famille Daigle s’est établie en arrivant du Québec.
2. La vie de Mgr Lionel DaigleCertes, le rencensement de 1833 de Deane & Kavanaugh en surprendra plus d’un. Le recensement indique où la famille Daigle s’est établie en arrivant du Québec.
Texte tiré du Livre Souvenir Clair NB 1889-1989
et écrit par Madame Lise Pelletier
Le 23 août 1951, Clair accueillait un curé
qui allait diriger la paroisse pendant les prochaines vingt-neuf années.
Lionel Daigle est né à Saint-Hilaire de Madawaska (aujourd’hui Baker Brook) le 1er janvier 1908, fils de Félix Daigle et de Zéline Nadeau.
Après avoir terminé ses études primaires dans sa paroisse, il entreprend son cours classique au Collège de Bathurst en 1926. Issu d’une famille très musicale, il apprend le violon au Collège et, pendant ses vacances, en profite pour s’exécuter lors de veillées où tout le monde s’y mettait : le père au violon, la mère à l’accordéon, le frère au tambour, une sœur à la mandoline et l’autre au piano. Pas étonnant que, tant du côté américain que canadien, tous accouraient aux soirées animées par les Daigle.
Lionel rêvait d’être médecin, mais l’appel au sacerdoce s’affirmait de plus en plus et il se dirige au séminaire Saint-Cœur-de-Marie, à Halifax, dans le but de poursuivre des études théologiques.
Le 17 juin 1934, il est ordonné prêtre dans la chapelle du Collège de Bathurst par Monseigneur P. A. Chiasson, évêque de Chatham. En guise de vacances bien méritées, on l’envoie, en compagnie de trois confrères nouvellement ordonnés, au camp d’entraînement scout Gilwell, à Sussex. À son retour, il est nommé vicaire de Grande-Anse. Malgré son court séjour dans cette paroisse, il est très actif au sein du mouvement scout et il fonde un groupe musical.
Les dix prochaines années le voient affecté à la cure de Saint-Basile, vicaire du Père Benjamin Saindon. Pendant cette période, on le nomme aumônier des scouts du diocèse, alors que le mouvement était encore à ses débuts. Dans l’espace d’un an, il met sur pied, dans cette paroisse, deux orchestres d’une vingtaine de bénévoles qui présentent des soirées récréatives dans le but de recueillir des fonds destinés à l’achat d’équipement sportif pour les jeunes. Secondé du Père Damase Thibodeau, le Père Daigle dirige ces deux groupes musicaux, l’un regroupant des personnes jouant à l’oreille, l’autre formé d’étudiants ayant une notion plus « classique » de la musique.
De plus, il est responsable de la formation de nombreux athlètes, les ayant initiés aux sports dès leur jeune âge. Le Père Daigle enseigne les diverses techniques du baseball et du hockey et il prend beaucoup de plaisir à jouer avec les jeunes sportifs. Il a l’honneur d’avoir mis sur pied la première équipe de hockey de l’endroit, « Les As ». Il organise les troupes scoutes et louveteaux et s’occupe de l’entraînement des chefs de patrouilles.
À la suite du décès du Père Xavier Daigle, le Père Lionel Daigle se voit confier la cure de Saint-François d’Assise de Clair. L’évêque avait clairement signifié au nouveau curé qu’une lourde tâche l’attendait : la construction d’une nouvelle église. Le Père Daigle est de taille à relever le défi, mais ne veut pas entreprendre des travaux d’une telle envergure sans disposer des fonds nécessaires à leur exécution. C’est pourquoi il organise, pendant plus de dix ans, les bazars de Clair, avec lesquels on récolta trois cent mille (300 000$) dollars.
C’est avec grand regret que les gens de Saint-Basile le voient quitter leur paroisse en 1945 pour assumer les fonctions de curé à Saint-Thomas d’Aquin, Lac Baker. L’entrain du Père Daigle ne connaît pas de relâche et, peu de temps après son arrivée à Lac Baker, on assiste à l’érection d’un Calvaire lumineux et d’une grotte à la Sainte-Vierge, au flanc de la colline à l’ouest de l’église. De 1947 à 1951, on procède à l’intronisation du Sacré-Cœur dans les foyers, à la fondation du Cercle Lacordaire et d’un magasin coopératif dans la paroisse.
Lionel Daigle est né à Saint-Hilaire de Madawaska (aujourd’hui Baker Brook) le 1er janvier 1908, fils de Félix Daigle et de Zéline Nadeau.
Après avoir terminé ses études primaires dans sa paroisse, il entreprend son cours classique au Collège de Bathurst en 1926. Issu d’une famille très musicale, il apprend le violon au Collège et, pendant ses vacances, en profite pour s’exécuter lors de veillées où tout le monde s’y mettait : le père au violon, la mère à l’accordéon, le frère au tambour, une sœur à la mandoline et l’autre au piano. Pas étonnant que, tant du côté américain que canadien, tous accouraient aux soirées animées par les Daigle.
Lionel rêvait d’être médecin, mais l’appel au sacerdoce s’affirmait de plus en plus et il se dirige au séminaire Saint-Cœur-de-Marie, à Halifax, dans le but de poursuivre des études théologiques.
Le 17 juin 1934, il est ordonné prêtre dans la chapelle du Collège de Bathurst par Monseigneur P. A. Chiasson, évêque de Chatham. En guise de vacances bien méritées, on l’envoie, en compagnie de trois confrères nouvellement ordonnés, au camp d’entraînement scout Gilwell, à Sussex. À son retour, il est nommé vicaire de Grande-Anse. Malgré son court séjour dans cette paroisse, il est très actif au sein du mouvement scout et il fonde un groupe musical.
Les dix prochaines années le voient affecté à la cure de Saint-Basile, vicaire du Père Benjamin Saindon. Pendant cette période, on le nomme aumônier des scouts du diocèse, alors que le mouvement était encore à ses débuts. Dans l’espace d’un an, il met sur pied, dans cette paroisse, deux orchestres d’une vingtaine de bénévoles qui présentent des soirées récréatives dans le but de recueillir des fonds destinés à l’achat d’équipement sportif pour les jeunes. Secondé du Père Damase Thibodeau, le Père Daigle dirige ces deux groupes musicaux, l’un regroupant des personnes jouant à l’oreille, l’autre formé d’étudiants ayant une notion plus « classique » de la musique.
De plus, il est responsable de la formation de nombreux athlètes, les ayant initiés aux sports dès leur jeune âge. Le Père Daigle enseigne les diverses techniques du baseball et du hockey et il prend beaucoup de plaisir à jouer avec les jeunes sportifs. Il a l’honneur d’avoir mis sur pied la première équipe de hockey de l’endroit, « Les As ». Il organise les troupes scoutes et louveteaux et s’occupe de l’entraînement des chefs de patrouilles.
À la suite du décès du Père Xavier Daigle, le Père Lionel Daigle se voit confier la cure de Saint-François d’Assise de Clair. L’évêque avait clairement signifié au nouveau curé qu’une lourde tâche l’attendait : la construction d’une nouvelle église. Le Père Daigle est de taille à relever le défi, mais ne veut pas entreprendre des travaux d’une telle envergure sans disposer des fonds nécessaires à leur exécution. C’est pourquoi il organise, pendant plus de dix ans, les bazars de Clair, avec lesquels on récolta trois cent mille (300 000$) dollars.
C’est avec grand regret que les gens de Saint-Basile le voient quitter leur paroisse en 1945 pour assumer les fonctions de curé à Saint-Thomas d’Aquin, Lac Baker. L’entrain du Père Daigle ne connaît pas de relâche et, peu de temps après son arrivée à Lac Baker, on assiste à l’érection d’un Calvaire lumineux et d’une grotte à la Sainte-Vierge, au flanc de la colline à l’ouest de l’église. De 1947 à 1951, on procède à l’intronisation du Sacré-Cœur dans les foyers, à la fondation du Cercle Lacordaire et d’un magasin coopératif dans la paroisse.
Grâce à notre habile administrateur,
l’église moderne et le vaste presbytère sont bientôt complétés, et il suffit
d’à peine trois années pour que toutes les dettes soient effacées.
En 1967, il reprend son enseignement musical à Clair, après le départ de
Sœur Émile de Saint-François.. Il commence en douceur avec un premier élève au
violon, Gérald Daigle. Puis d’autres viennent s’ajouter et le Père Daigle se
fait une joie de leur faire découvrir le violon, le violoncelle, la contrebasse
ou l’alto. En peu de temps, l’orchestre à cordes « Les Jeunes Violonistes de
Clair » est né.
Pendant quatorze ans, il se dévoue à
initier plus de 150 enfants de Clair et des environs à la belle musique. Il
épouse la méthode d’enseignement japonaise, Suzuki, qui permet même aux tout
petits d’apprendre avec rapidité. Son dévouement est inlassable et bientôt, son
orchestre à cordes atteint une réputation nationale. Grâce à lui, deux de ses
premiers élèves, Gérald Daigle et Jean-Marc Leclerc, épousent une carrière de
violoniste.
Ordre du Canada
Son apostolat ne passe pas inaperçu et, le
18 octobre 1978, lors d’une cérémonie d’investiture à Rideau-Hall, notre bon
Père Daigle devient membre de l’Ordre du Canada. C’est le Chancelier et
Principal Compagnon de l’Ordre, Son Excellence Jules Léger, Gouverneur général
du Canada, qui le décore de l’insigne. Dans un article du 27 juin 1979, Jean L.
Pedneault, du journal « Le Madawaska », cite plusieurs membres du comité qui remarquent
« que la contribution du Père Lionel Daigle à son pays est inestimable. Son
amour de la musique, sa patience avec les jeunes, sont des éléments qui
contribuent à l’unité de tous les Canadiens. Peu d’hommes et de femmes, hélas,
ont la conviction profonde que le monde adulte doit faire beaucoup pour les
jeunes. Le curé de Clair a compris ce message depuis longtemps et il a su
inculquer à ces jeunes la discipline, l’amour de la musique et du beau. De
plus, il a aidé ces jeunes à mieux connaître notre vaste et grand pays. C’est
l’un des meilleurs ambassadeurs, que la République du Madawaska a connu
jusqu’ici. »
Et voilà qu’après vingt-neuf années
d’engagement au cœur de la paroisse de Clair, notre âme dirigeante nous quitte.
Au mois d’août 1980, le Père Lionel Daigle se retire de l’Hôtel-Dieu de Saint
Basile.
Il ne cesse pas pour autant ses activités.
Dès l’automne, il enseigne le violon aux enfants de la maternelle de
Saint-Basile, à leurs parents et aux religieuses de l’Hôtel-Dieu. Infatigable,
il fonde « Les Petits Violons de Saint-Basile » et, dans l’espace de quatre
ans, on compte parmi leurs rangs une soixantaine de membres. Il est secondé par
une équipe de six professeurs, certains d’entre eux, anciens élèves qu’il se
fait une mission de recruter. En plus d’assurer lui-même la formation de ces
adultes, il organise, à chaque année, un mini-camp musical où l’on enseigne le
violon, le violoncelle, la contrebasse et l’alto. Le bon Père Daigle, âgé de 72
ans, avoue qu’il s’attarde à corriger certaines erreurs du passé : « Je ne
suis pas éternel, dit-il, et je prépare une relève. »
Le 2 mai 1981, l’Université de Moncton lui
décerne un doctorat honorifique en musique, le premier à être accordé sur sol
madawaskayen, au Centre universitaire Saint-Louis-Maillet.
Médaille Jean-Paul II
Le jeudi 27 décembre 1984, Lionel Daigle se
voit comblé. Lors d’un souper à l’évêché d’Edmundston, auquel assistent tous
les prêtres du diocèse, Monseigneur Gérard Dionne lui remet la médaille
Jean-Paul II en signe de ses nombreux services rendus auprès des jeunes
violonistes, tant à Clair qu’à Saint-Basile. Le Père Daigle déclare que cette
médaille lu fait plaisir et qu’elle le stimule à continuer. « Franchement, pour
moi, c’est un stimulant. Je ne réalisais pas que le travail que je faisais
était aussi important. Et là, je réalise que cela a de la valeur, non seulement
pour moi, mais auprès des autres, auprès de mes confrères et auprès de mon
évêque. »
À l’exemple de son cousin, le Père Médard
Daigle, il a lui aussi « remplacé les fusils par les violons ». Il a semé
l’harmonie partout sur son chemin et le monde ne sera plus jamais le même.
Aujourd’hui, à 81 ans, le Père Lionel Daigle, vit à l’Hôtel-Dieu de Saint-Basile. Et, après avoir consacré sa vie à l’oeuvre de Dieu, il est toujours actif au sein de la communauté et auprès de ses chers violons.
Vous trouverez aussi un texte résumant la vie de Mgr Daigle sur le site suivant. Mgr Daigle fait partie du Temple de la Renommée des Arts d’Edmundston.
Le Temple de la Renommée des Arts
d’Edmundston
4. La généalogie de Mgr Lionel Daigle
5. Ma documentation quant à la généalogie de Mgr Daigle
La famille Daigle s’est exilée en 1755 en partance de la Nouvelle-Écosse pour atterrir à La-Petite-Rivière-St-François près de Montmagny Qc. De là, ils sont revenus s’établir au Madawaska. Le premier arrivant me semble être Joseph Daigle (1767-1836). Mais, son fils Jean-Baptiste Daigle (1767-1836) sera l’un des tout premiers pionniers à naître au Madawaska. Il deviendra l’ancêtre de Mgr Lionel Daigle. Son baptistère se trouve à la page 4 du Registre ecclésiastique de Saint-Basile ouvert en 1792.
C’est là que vivait paisiblement Olivier Daigle
avant la Déportation des Acadiens en 1755
La-Petite-Rivière-St-François
près de Montmagny Qc.
Certificat de naissance de Marie Gaudet
épouse d’Olivier Daigle.
Certificat de mariage entre Olivier Daigle
et Marie Gaudet à Port-Royal, NÉ.
Le couple s’est marié en 1666 en Acadie.
Dans la Collection Tanguay, Joseph Daigle est identifié
comme « l’Acadien » en territoire québécois, ainsi que son épouse Madeleine Gaudreau (Gauterot).
Ces dernières années, plusieurs enfants du couple
ont été identifiés comme vous le voyez
dans mon tableau de généalogie.
Certificat de naissance de Joseph Daigle,
petit-fils d’Olivier. Il est né en 1696
à Pisiguit NÉ.
Voici un cliché tiré de l’arbre de famille de
Carol Daigle. En fait, c’est de ses recherches
que plusieurs autres gérants d’arbre s’inspirent,
incluant moi-même.
Bravo et merci Carol !
Décès de Bernard Daigle
le 22 janvier 1751 (Niveau 2)
Je vous invite à consulter le site Internet suivant pour en savoir davantage sur cette photo qui ne peut faire autre
que de piquer votre curiosité. Quelques minutes
de votre temps pour ne pas oublier.....
http://museeacadien.org/lapetitesouvenance/?p=1104
Mariage entre Joseph Daigle & Marguerite Guilbeault
le 23 novembre 1762 à Montmagny Qc
Certificat de naissance de Simon Joseph Daigle
en 1738 À Grand-Pré NÉ.
Baptême de Joseph-Marie Daigle,
le 14 septembre 1763 à Montmagny Qc,
fils de Joseph & Marie Guilbeault.
Baptême de Pierre Daigle,
le 29 mai 1767 à Montmagny,
fils de Joseph & Marguerite Guilbeault.
Baptême de Pierre Daigle,
le 29 mai 1765 à Montmagny
fils de Joseph & Marguerite Guilbeault.
Il est le jumeau de Marguerite
et est identifié comme « l’Acadien ».
Baptême de Marguerite Daigle,
le 29 mai 1765 à Montmagny
fils de Joseph & Marguerite Guilbeault.
Elle est la jumelle de Pierre
et est identifiée comme « L’Acadienne ».
Baptême de Jean-Baptiste Daigle,
le 10 février 1767 à Montmagny,
fils de Joseph et Marguerite Guilbeaut.
Jean-Baptiste avait aussi une jumelle, Marie Angélique.
Baptême de Marie-Angélique Daigle,
le 10 février 1767 à Montmagny,
fille de Joseph & Marie Guilbeault
& jumelle de Jean-Baptiste.
Vous apercevez le nom de Joseph Daigle
sur ce monument avec celui d’autres Acadiens.
Il fut l’un des pionniers du Madawaska.
Il est né à Montmagny.
Son fils, Jean-Baptiste, naîtra au Madawaska et
deviendra l’ancêtre de Mgr Daigle.
La majorité de ces noms de famille
se retrouvent quelques années plus tard
dans les recensements de population
à Clair NB. Je vous le démontrerai bientôt.
Baptême de Joseph-Marie,
le 14 octobre 1763,
Mariage entre Augustin Daigle & Marie-Luce Cyr,
le 2 août 1824 à St-Basile NB.
(suite)
Recensement de la famille d’Augustin Daigle
& Marie-Luce Cyr,
en 1851 à St-Hilaire NB.
Recensement de la famille d’Augustin Daigle
& Marie-Luce Cyr,
en 1861 à St-Hilaire NB.
Nouveau dossier qui n’a jamais été rapporté.
Baptême de Maxime Daigle,
le 10 mai 1840 à St-Basile,
fils d’Augustin & Marie-Luce Cyr.
Baptême d’Adolphe Daigle,
le 19 novembre 1837,
fils d’Augustin Daigle & Marie-Luce Cyr.
Décès de Marie Cyr, épouse de Jean-baptiste Daigle,
le 23 juin 1848 à St-Hilaire.
Décès d’Augustin Daigle, époux de feue Marie Luce Cyr,
le 24 janvier 1877 à St-Hilaire NB.
Recensement de la famille de Zéphirin & Flavie Martin
en 1871 à St-Hilaire NB
Recensement de la famille de Zéphirin & Flavie Martin
en 1881 à St-Hilaire NB
Recensement de la famille de Zéphirin & Flavie Martin
en 1891 à St-Hilaire NB.
Recensement de la famille de Zéphirin & Flavie Martin
en 1901 à St-Hilaire NB.
Décès de Zéphirin Daigle
le 18 juin 1914 à St-Hilaire NB.
Naissance de Félix Daigle,
le 22 août 1873
Mariage de Félix Daigle & Zéline Nadeau,
le 2 juillet 1897 à St-Hilaire NB.
Recensement de la famille de Félix Daigle
& Zéline Nadeau
en 1901 à St-Hilaire NB
Recensement de la famille de Félix Daigle
& Zéline Nadeau
en 1911 à St-Hilaire NB.
Recensement de la famille de Félix Daigle
& Zéline Nadeau
en 1921 à St-Hilaire NB.
Leona est une cousine de Mgr Daigle.
6. Les photos
La famille Rossignol de Clair
********
Mgr Daigle se rendait l’École Ste-Thérèse
chaque semaine pour une période de chants en groupe
en s’inspirant du livre suivant. Je m’en souviens...
La nouvelle église en construction
avant la construction de la nouvelle église.
L’ancienne église de Clair que Mgr Daigle
avait la charge de remplacer
Mgr Daigle, Soeur Tanaka
et un ensemble à cordes
Équipe de hockey collégiale
Lionel, au centre de la première rangée
La famille Paillard de Clair
(enfants de Paul-Émile & Cora Sirois)
Mgr Daigle à une collation des diplômes à Clair NB
Mgr Daigle a été curé à Lac Baker NB
Des curés de Clair NB
(Photo de Jean-Louis Lang)
Mgr Daigle recevant une plaque commémorative
de la part du député de la région,
M. Jean-Pierre Ouellet
*****
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*****
7. Du Québec au Madawaska
Lydia - 13 ans & décédée à 20 ans
Sans titre
École de St-Hilaire - 1914
Almida, Mélanie, Gérard & Irène - 1928
Félix Daigle
(Arrière) Irène, Lionel, Camille, Gérard, Aldéric, Mélanie
(Avant) Félix, Irma & Zéline Nadeau-Daigle
Mgr Daigle au centre de sa famille
Dernière année d’enseignement d’Irène avant le mariage - 1937-38
Coopérative du Madawaska - 1939
Ferme de démonstration de Félix Daigle à Baker brook - 1942
Sans titre
Les Nadeau
Augustin Daigle & Marie-Luce Cyr
Blanche Albert mariée à Willie O. Daigle
Chez Denis Daigle & Délina.
Denis était le frère de Félix et le père de Médard Daigle
(Arrière) Docithe, Damase et Denis Nadeau
(Avant) Agnès, Modeste et Zéline Nadeau
Famille d’Auguste Daigle
Irène, Anilda & Mélanie à
Ferme Expo Fredericton 1928
La Coopérative du Madawaska
Maison de Félix Daigle & Zéline Nadeau
Mlle Prévotat qui venait de France et
qui fut la première à montrer des vues animés.
Son cheval s’appelait MAHICA
Pensionnaires du Couvent de St-Basile - 1922-1925
Irène Daigle fait partie du groupe
Sans titre
Endos de la photo précédente
Marthe Dubé-Nadeau & Mélanie Daigle
dans le groupe
Willie O. Daigle avec les chevaux
de son oncle Félix Daigle.
Ces chevaux ont servi à tirer le corbillard du temps.
Yolande C., Valmond Ouellette, Irma, Énoïl (Bill) O.,
Fernande C., Marie-Thérèse, Gemma, Clairma Collin
(Arrière) Gérard, ???, Aldéric, ???, Gilles Cyr, Gérard Michaud
(Avant) Éva Travers, Péa Daigle, Blanche Michaud
9. Le recensement de Deane & Kavanaugh en 1833
dans le Haut-Madawaska
(côté sud et côté nord du fleuve St-Jean)
Les clichés d’écran qui suivent ont été tirés du recensement américain exécutés en 1833 par Deane & Kavanaugh
du côté sud du fleuve Saint-Jean (South Bank),
donc sur le territoire allant de Fort Kent à Madawaska ME.
Les deux clichés d’écran qui suivent ont été tirés du recensement de 1833 exécuté par Deane & Kavanaugh sur le côté nord (North Bank) du fleuve Saint-Jean, donc sur le territoire entre Clair et Edmundston NB. Par conséquent, Firmin et Justin étaient les seuls Daigle à vivre du côté « canadien ». À cette époque, la région de French ville appartenait au Canada (Couronne Britannique).
La famille Rossignol de Clair
Mgr Daigle se rendait l’École Ste-Thérèse
chaque semaine pour une période de chants en groupe
en s’inspirant du livre suivant. Je m’en souviens...
(Photo Aldéric Daigle)
Levée de la première pelletée de terreavant la construction de la nouvelle église.
L’ancienne église de Clair que Mgr Daigle
avait la charge de remplacer
Mgr Daigle, Soeur Tanaka
et un ensemble à cordes
Équipe de hockey collégiale
Lionel, au centre de la première rangée
La famille Paillard de Clair
(enfants de Paul-Émile & Cora Sirois)
Mgr Daigle à une collation des diplômes à Clair NB
Mgr Daigle a été curé à Lac Baker NB
(Photo Éric Nadeau)
*******Des curés de Clair NB
(Photo de Jean-Louis Lang)
Mgr Daigle recevant une plaque commémorative
de la part du député de la région,
M. Jean-Pierre Ouellet
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7. Du Québec au Madawaska
En arrivant du Québec (La-Petite-Rivière-St-François, Montmagny), où les Daigle se sont-ils installés ? Mes informations indiquent qu’ils vivaient à Baker Brook. Les Daigle ont pu vivre à Baker Brook à une certaine époque, c’est vrai. C’est peut-être là que Mgr Daigle est né. Mais, ce n’est pas à Baker Brook que s’est installé Joseph Daigle avec ses enfants en arrivant du Québec.
D’après le recensement de Deane et Kavanagh en 1833, les Daigle vivaient du côté sud (South Bank) du fleuve Saint-Jean, soit sur le territoire s’étendant de Fort Kent à Madawaska ME. On constate aussi que certains d’entre eux possèdaient plus d’une propriété.
On mentionne aussi en quelle année ces propriétés ont été acquises et la taille de ces propriétés.
En 1929, les habitants du Haut-Madawaska frôlaient la famine. Thomas Baillie, envoyé spécial de Fredericton, a dressé la liste de ces familles nécessiteuses. Aucun Daigle ne figure sur cette liste.
8. La collection de photos de Marielle Nadeau-Clair (mariée à Peter Clair) fille d’Irène Daigle (mariée à Docithe Nadeau de St-François). Un sincère merci à Marielle d’accepter de partager ce trésor familial avec les abonné.e.s du site FB CLAIR, NB.
Zéphirin & Flavie Martin
Eulalie - 16 ansLydia - 13 ans & décédée à 20 ans
Sans titre
École de St-Hilaire - 1914
Almida, Mélanie, Gérard & Irène - 1928
Félix Daigle
(Arrière) Irène, Lionel, Camille, Gérard, Aldéric, Mélanie
(Avant) Félix, Irma & Zéline Nadeau-Daigle
Mgr Daigle au centre de sa famille
Dernière année d’enseignement d’Irène avant le mariage - 1937-38
Coopérative du Madawaska - 1939
Ferme de démonstration de Félix Daigle à Baker brook - 1942
Sans titre
Les Nadeau
Augustin Daigle & Marie-Luce Cyr
Blanche Albert mariée à Willie O. Daigle
Chez Denis Daigle & Délina.
Denis était le frère de Félix et le père de Médard Daigle
(Arrière) Docithe, Damase et Denis Nadeau
(Avant) Agnès, Modeste et Zéline Nadeau
Famille d’Auguste Daigle
Irène Daigle, École Normale - 1926
Irène Daigle - 7 ansIrène, Anilda & Mélanie à
Ferme Expo Fredericton 1928
La Coopérative du Madawaska
Maison de Félix Daigle & Zéline Nadeau
Mlle Prévotat qui venait de France et
qui fut la première à montrer des vues animés.
Son cheval s’appelait MAHICA
Pensionnaires du Couvent de St-Basile - 1922-1925
Irène Daigle fait partie du groupe
Sans titre
Marthe Dubé-Nadeau & Mélanie Daigle
dans le groupe
Willie O. Daigle avec les chevaux
de son oncle Félix Daigle.
Ces chevaux ont servi à tirer le corbillard du temps.
Yolande C., Valmond Ouellette, Irma, Énoïl (Bill) O.,
Fernande C., Marie-Thérèse, Gemma, Clairma Collin
La généalogie de la famille Daigle
Félix Daigle et Zéline Nadeau(Arrière) Gérard, ???, Aldéric, ???, Gilles Cyr, Gérard Michaud
(Avant) Éva Travers, Péa Daigle, Blanche Michaud
9. Le recensement de Deane & Kavanaugh en 1833
dans le Haut-Madawaska
(côté sud et côté nord du fleuve St-Jean)
Les clichés d’écran qui suivent ont été tirés du recensement américain exécutés en 1833 par Deane & Kavanaugh
du côté sud du fleuve Saint-Jean (South Bank),
donc sur le territoire allant de Fort Kent à Madawaska ME.
Les deux clichés d’écran qui suivent ont été tirés du recensement de 1833 exécuté par Deane & Kavanaugh sur le côté nord (North Bank) du fleuve Saint-Jean, donc sur le territoire entre Clair et Edmundston NB. Par conséquent, Firmin et Justin étaient les seuls Daigle à vivre du côté « canadien ». À cette époque, la région de French ville appartenait au Canada (Couronne Britannique).
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